Pierre Assens - Photographe
Qui suis-je ?
Je ne vous dirais pas ici que la photographie est une de mes passions les plus prenantes, ou encore que mon souhait le plus grand est de transmettre au travers de mes photographies toutes les émotions du monde et toute la beauté des choses. Je crois que venant d'un photographe ces choses sont d'un banal ; et banal je ne veux pas l'être.
Seulement de l'Être j'espère en avoir puisque je veux le faire apparaître dans mes créations.
Il est toutefois difficile de me présenter en quelques lignes, en si peu de mots, aussi y ajouterais-je de la musique et des images. Alors laissez moi vous emporter dans ma bulle, cela se passe juste en dessous !
Qui suis-je ?
Je ne vous dirais pas ici que la photographie est une de mes passions les plus prenantes, ou encore que mon souhait le plus grand est de transmettre au travers de mes photographies toutes les émotions du monde et toute la beauté des choses. Je crois que venant d'un photographe ces choses sont d'un banal ; et banal je ne veux pas l'être.
Seulement de l'Être j'espère en avoir puisque je veux le faire apparaître dans mes créations.
Il est toutefois difficile de me présenter en quelques lignes, en si peu de mots, aussi y ajouterais-je de la musique et des images. Alors laissez moi vous emporter dans ma bulle, cela se passe juste en dessous !
En musique d'abord
La musique est certainement ma plus grande source de réconfort, je n'ai pas d'affinité pour un style musical en particulier. Ce qui m'importe c'est essentiellement les émotions que transportent ses œuvres, par les sons ou par les paroles.
"Les oiseaux de Passage" est un poème écris par Jean Richepin en 1876. Il a été plus tard repris en chanson par Brassens, puis j'ai découvert par hasard cette reprise de Rémo Gary, reprenant le poème dans son intégralité. Une ode à la liberté et à la résilience qui me donne une énergie sans limite pour mener à bien mes projets.
"Marée Haute", écrite et chantée par Gaël Faye. À mi-chemin entre le rap et la hip-hop, son originalité et son dynamisme en font une chanson d'amour particulièrement percutante à mon sens. Du genre de celles qui vous font tomber amoureux une seconde fois, si si !
En image ensuite
NASA, ESA, and the Hubble Heritage Team (STScI/AURA)
HUBBLE - Les Piliers de la création
L'astronomie me passionne depuis petit. L'immensité du ciel et la complexité des règles le régissant en font quelque chose de magnifique.
Observer le ciel est pour moi, paradoxalement peut-être, un bon moyen de garder les pieds sur terre. Faire face à la taille minuscule de notre habitation, perdue au milieu du vide nous engage à en prendre soin.
Les images que nous a donné Hubble, puis James-Webb aujourd'hui nous permettent à la fois d'appréhender assez intuitivement les dimensions titanesques et la complexité de l'univers.
Mon parcours
J'ai découvert la photographie tout d'abord par les innombrables albums de photos de famille que sortait régulièrement ma grand-mère lorsque, enfant, nous lui rendions visite. J'ai toujours trouvé fascinant de pouvoir se projeter dans une époque que je n'ai pas connu, ou dont je ne me souvenais pas. Voir le visage de mes aïeux, entendre parler d'eux, a été pour moi une manière de les connaître.
Je ne me suis cependant, jusque tard, pas essayé à la prise de vue, l'appareil photo était pour moi un objet de fascination technique. Tout a changé au noël de mes 21 ans lorsque ma compagne m'a offert un appareil réflex.
La photographie m'a alors rattrapé et ne m'a plus quitté ; elle m'a offert la possibilité de me comprendre autrement, de définir ce que je trouve beau ou mémorable et m'a forcé à réfléchir à comment mettre en valeurs ces choses. C'est plus généralement pour moi un moyen de m'ancrer dans le présent et de remplacer mes idées sombres par des moments lumineux.
La photographie a changé mon rapport au monde. Au travers de mes pérégrinations dans ce nouvel univers, j'ai découvert nombreux artistes ayant chacun une vision du monde, sachant si habilement la mettre en lumière que chaque cliché devenait une histoire ; j'ai alors compris la force que pouvait avoir une image. Je pense particulièrement à Jane Evelyn Atwood dont le travail m'a profondément touché. Né en 1947 à New-York, elle a au cours de sa carrière réalisé des reportages intenses et crus, mettant en lumière les tabous de la société des années 80 au travers de ses clichés de la rue Pigalle, de Jean-Louis atteint du VIH ou encore des femmes en prison. Je ne saurais dire si ces photos sont belles au sens classique du terme, elles portent en revanche une charge émotionnelle intense, nous projetant dans la réalité et dans l'intime de ses sujets.
Vous parler de cette photographe est important pour moi, c'est après avoir visité une exposition retraçant son parcours et son travail que j'ai eu le déclic : je souhaite faire de la photographie pour partager aux spectateurs les émotions, l'intimité et la poésie de mes sujets. C'est ce besoin d'expression qui m'a conduit à faire de la photographie mon métier et à créer Memento Lumina.
Mon ambition
J'imagine Memento Lumina comme une invitation à rechercher le beau et le lumineux dans notre vie. J'entends par là que notre interprétation se fonde généralement sur le contraste relatif de nos perceptions. Ainsi il est toujours possible de mettre en valeur la part de lumière de chaque chose.
Avec Memento Lumina je veux vous accompagner, partager avec vous ce regard porté sur le détail, cette attention à l’instant, cette façon d’exprimer en images ce qui fait vibrer l’âme. Memento Lumina est une ode à l’émerveillement, une passerelle vers ce qui nous unit : ces souvenirs, ces émotions, ces fragments de vie qui méritent d’être révélés et chéris.
Si cette façon de voir les chose résonne en vous, et que ma vision de la photographie vous correspond, alors je vous invite à découvrir comment nous pourrons ensemble mener vos projets à bien !